Suspension

« Mon osthéo me conseille des étirements, me suspendre par les mains pour soulager le dos^^ » Il ne fallait pas m’écrire ça. Je le convoque a 8.00 du mat. Le palan est prêt. C’est l’occasion d’évaluer (ou confirmer) sa résistance. Il arrive à l’heure. Je viens de me lever. J’ai envie de sa gueule pour me détendre. Ça se fait à cru, bas de jogging, torse nu. A mes pieds, il me chauffe la queue, les couilles. Il se déchaîne entre mes cuisses. Il ne sait pas encore que c’est le seul moment ou il pourra me bouffer la queue et les couilles. Il est prêt. La suite se passe devant l’objectif…

Son ressenti…« Ce samedi matin fut terrible. A ma grande surprise, le maître est très cool à mon arrivée. J’ai le droit, tout de suite, à son odeur, au goût de ses boots, de sa queue, de ses tétons. Que du bonheur mais il y a un « mais ». Il me dit « vas-y, profites… frottes ta queue sur le carrelage ». Ça m’excite trop. Je bande. grrr. L’esclave que je suis a le droit. J’en profite mais pas assez. Le maître me relève et me met une ceinture de chasteté.  J’ai trop envie de me toucher mais il ferme la ferme à clé. Le bonheur quand il me met le harnais de tête, la chaîne aux pieds, tête en arrière, torse en avant et fesses à dispo, une soumission totale. Plug, pinces aux tétons. Comment résister à autant de stimulations. Pire, il m’attache comme ça dans le grenier. Je me tortille. J’ai trop envie de me toucher. C’est trop. Il me suspend. Fessée. Je me tortille encore. Impossible de bander. Le bonheur quand il me laisse me reposer, tout attaché. La pause est courte. Le pire arrive. Je me retrouve sous la douche froide. Il retire les pinces de mes seins. La douleur est très forte. Ses mains me calment. Je m’accroche à lui. Mes cho7 dans la gueule, je reçois son sperme sur le torse. Le MAITRE est trop fort. MERCI ».