« J’ai tellement hâte… »

Malgré la douleur,il revient avec une putain d’envie de prendre cher. Ça fait un mois et demi qu’on ne s’est pas vu. Une cheville hs. (Les bleus qu’il a sur les cuisses ne viennent pas de moi^^). D’entrée, je le laisse reprendre ses marques. Le goût de mes boots. La chaleur de ma pisse. Il est prêt à encaisser. Harnais, cage de châsteté, suspension, pinces, bougie… « Je donne… je donne… » c’est ce qu’il répétait en boucle quand la cire chaude lui tombait sur la poitrine.

Son ressenti… Comme à chaque fois, ce fut trop bien. La chaleur de l’uro. La morsure de la cire. Rester suspendu en offrant mon torse à mon maître. Je me suis senti totalement esclave à lécher ses boots. Subir pour son plaisir. Mon plaisir était de satisfaire son maître. Comme il l’a écrit, je répétais « je donne » car j’en avais envie et besoin. Et puis rester seul, pinces à linge sur le torse, pinces sur tétons, en cage de chasteté et plugué… quel bonheur :) Se sentir totalement à lui. Quand il me décrochait, c’était pour finir à genoux. Impossible de me relever. Comment vous le dire… franchement, il sait y faire, il sait soumettre. Trop kiffant d’être à ses pieds. Impossible de résister.